Mesdames et messieurs mes
chers auteurs de l’école Moulin Pergaud,
Comme toujours je lis et
relis votre prose avec beaucoup de plaisir.
Cette fois c’est presque
parfait, si ce n’est quelques bricoles que vous déciderez
peut-être de modifier:
- Ginette et La Mort sont
très différentes. Ginette est une bonne vivante, gourmande, et
malicieuse. La Mort est puante, pourrie, colérique et revancharde.
Cependant, dans le chapitre trois Ginette se met en colère et elle
emploie une expression qui ressemble à s’y méprendre à une chose
que dit régulièrement la mort : «Je t’aurai». Si
j’étais vous je ferais attention à bien respecter le caractère
particulier de chacun de vos deux personnages principaux, afin que
toujours ils se distinguent. Ainsi la mort pique des colères alors
que Ginette trouve toujours le moyen de résoudre ses problèmes. Et
si elle avait une devise, ce pourrait être : «il n’y a pas
de problème, il n’y a que des solutions».
- D’autre part
l’expression «je l’aurai, je l’aurai» qui revient et
reviendra comme un Leitmotiv au cours de votre récit évoque une
blague récurrente d’une émission de télévision des année 80,
qui a été reprise depuis par la publicité, n’est ce pas dommage?
Vous pourriez peut être créer votre Leitmotiv de La Mort à vous.
Qu’en pensez vous?
Ceci étant dit, je
retourne relire votre chapitre 3 en attendant impatiemment le 4 que
vous nous préparez dans le plus grand des secrets...
En vous remerciant pour
votre beau travail d’écriture,
Frédéric Kessler, votre
fidèle lecteur.
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