jeudi 3 avril 2014

A propos du chapitre trois

Mesdames et messieurs mes chers auteurs de l’école Moulin Pergaud,
Comme toujours je lis et relis votre prose avec beaucoup de plaisir.
Cette fois c’est presque parfait, si ce n’est quelques bricoles que vous déciderez peut-être de modifier:

- Ginette et La Mort sont très différentes. Ginette est une bonne vivante, gourmande, et malicieuse. La Mort est puante, pourrie, colérique et revancharde. Cependant, dans le chapitre trois Ginette se met en colère et elle emploie une expression qui ressemble à s’y méprendre à une chose que dit régulièrement la mort : «Je t’aurai». Si j’étais vous je ferais attention à bien respecter le caractère particulier de chacun de vos deux personnages principaux, afin que toujours ils se distinguent. Ainsi la mort pique des colères alors que Ginette trouve toujours le moyen de résoudre ses problèmes. Et si elle avait une devise, ce pourrait être : «il n’y a pas de problème, il n’y a que des solutions».

- D’autre part l’expression «je l’aurai, je l’aurai» qui revient et reviendra comme un Leitmotiv au cours de votre récit évoque une blague récurrente d’une émission de télévision des année 80, qui a été reprise depuis par la publicité, n’est ce pas dommage? Vous pourriez peut être créer votre Leitmotiv de La Mort à vous. Qu’en pensez vous?

Ceci étant dit, je retourne relire votre chapitre 3 en attendant impatiemment le 4 que vous nous préparez dans le plus grand des secrets...

En vous remerciant pour votre beau travail d’écriture,

Frédéric Kessler, votre fidèle lecteur.

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